(Reprise d'une chanson de Graeme Allwright, traduction d'une chanson de Leonard Cohen) Tous les hommes que tu as connus Te disaient qu'ils ne voulaient plus Donner les cartes pris comme dans un piège C'est dur de retenir la main D'un homme qui cherche plus loin Qui veut atteindre le ciel pour se livrer Et qui veut atteindre le ciel pour se livrer Puis ramassant les cartes Qui sont restées là sur la table Tu sais qu'il t'a laissé très peu pas même son rire Comme tous les joueurs il cherchait La carte qui est si délirante Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Un jour penchée à ta fenêtre Il te dira qu'il veut renaître Au monde que ta tendresse lui cache Et sortant de son portefeuille Un vieil horaire de train il dit Je t'avais prévenue je suis étranger Je t'avais prévenue je suis étranger Maintenant un autre étranger semble Vouloir que tu ignores ses rêves Comme s'ils étaient le fardeau d'quelqu'un d'autre Tu as vu cet homme déjà donner Les cartes avec son bras en or Et maintenant tu vois sa main est figée Et maintenant tu vois sa main est figée Mais tu n'aimes pas regarder Un autre homme fatigué Déposer toutes ses cartes comme une défaite Tandis qu'il rêve jusqu'au sommeil Dans l'ombre tu vois comme une fumée Une route qui monte derrière sa tête Une route qui monte derrière sa tête Tu lui dis d'entrer et de s'asseoir Et en te retournant tu vois Que la porte de ta chambre reste ouverte Et quand tu prends sa main il dit N'aie pas peur ma tendre amie Ce n'est plus moi oh mon amour l'étranger Ce n'est plus moi oh mon amour l'étranger J'ai attendu toujours certain De te revoir entre les trains Bientôt il va falloir en prendre un autre Oh je n'ai jamais eu tu sais Pas le moindre plan secret Ni personne pour me conduire Et tu te demandes ce qu'il cherche à dire Oui tu te demandes ce qu'il veut dire En bas au bord du fleuve demain Je t'attendrai si tu veux bien Là tout près du pont qu'ils construisent Puis quitte le quai pour un wagon-lit Tu sais qu'il cherche un autre abri Qu'il n'avait jamais été un étranger Qu'il n'avait jamais été un étranger Et tu dis d'accord Le pont ou bien ailleurs je viendrai Puis ramassant les cartes Qui sont restées là sur la table Tu sais qu'il t'a laissé très peu pas même son rire Comme tous les joueurs il cherchait La carte qui est si délirante Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre Un jour penchée à ta fenêtre Il te dira qu'il veut renaître Au monde que ta tendresse lui cache Et sortant de son portefeuille Un vieil horaire de train il dit Je t'avais prévenue je suis étranger Je t'avais prévenue je suis étranger Je t'avais prévenue je suis étranger