Ils sont fiers, ils sont élancés Comme les arbres de leur forêt Blanche est la feuille où court leur trait Les Elfes de Green Elven De leur plume aux reflets d'argent Naissent des êtres d'autres temps Des landes perdues, des chevaux blancs Les Elfes de Green Elven (oh ouais, c'est beau) Ils imaginent des contrées Des reines maudites aux yeux violets Les ombres s'étendent sur la forêt Des Elfes de Green Elven Et quand le soir tombe sur les feuilles dorées (sur les feuilles dorées) Le sang de la forêt coule sur leurs cheveux blancs (Hein? T'es sûr qu'c'est l'bon texte? Sur leurs cheveux blancs) Avec dans leurs carnets, des croquis ravagés (croquis ravagés) Par la détresse impie de l'artiste souffrant (souffrant, souffrant, Zorro) Vient alors la dame au visage fin Calme les esprits contre son sein (hey, t'as des photos? Mais chut) Sonnent ensuite les chants sereins (oh) Des Elfes de Green Elven Puis leurs armées piaffantes à l'orée du bois (Hé, oh, du calme, à l'orée du bois) Chargent dans les ténèbres au son des tambourins (Super Bourrins) Lèvent leurs lames luisantes dans le froid (oui, dans le froid) Et cueillent des framboises jusqu'au matin (tin-tin-tin) (Des framboises? Qu'est-ce que c'est qu'cette histoire de framboises?) Ainsi donc s'achève la nuit (ça colle même pas, t'es complètement abruti?) Mon histoire se termine ici Et je contemple les croquis Des Elfes de Green Elven Des Elfes de Green Elven Bon bah, ce sera pas un tube Mais qu'est-ce qu't'en sais? Des framboises? Bah, oui, des framboises Mais j'lui avais dit qu'ce serait pas une chanson débile, ce coup-ci Oh, mais t'aimes rien, toi