La nuit est pleine, de lueurs inconnues Je me tiens seul, mais je tiens bon L'orage s'est tu, alors qu'une inconnue S'approche sans bruit et sans nom Elle fait de mon espace un lieu qu'elle voit comme un refuge Et sa présence efface cette vie de froids de déluges Les nuits chaudes, que l'on passe tous les deux Font qu'à l'aube, le temps paraît pluvieux Nos cœurs qui saignent, d'avoir trop voyagé Ne cherchent au fond, qu'une sortie Je passe mes heures, à tenter d'oublier Que sans un son, tu es partie Elle parcourait l'espace cherchant de ses yeux mon appui Laissant les jours qui passent, jusqu'à ce que vienne la nuit Jusqu'à ce que viennent, jusqu'à ce que viennent Les nuits chaudes, que l'on passe tous les deux Font qu'à l'aube, le temps paraît pluvieux Cette fois, j'emporterai l'image Bien avant que vienne frapper l'orage J'entends encore la pluie du Nord Mais j'aime autant rester la Tu vois l'orage rempli les pages De notre histoire c'est comme ça Les nuits chaudes, que l'on passe tous les deux Font qu'à l'aube, le temps paraît pluvieux Cette fois, j'emporterai l'image Bien avant que vienne frapper l'orage