Au cœur des nerfs, coup de tonnerre d'une pensée, je fais une guerre Comme il fait lourd avant le jour que viennent les secondes pour mesurer l'onde Dans les courants interférant, je ne veux plus trembler L'importance du vivant, respirer entier ♪ Puis un jour tout disparaitra, prends toi ça À tout cramer dans le feu, ouvrons les yeux Je me fortifie en acceptant, je suis dedans Des pas profonds dans une terre chargée D'une éternité Des corps de poussière, je me souviens Au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile Des corps de poussière, je me souviens Au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile Prends ma poigne et libère moi, écrivons les mots au présent Avoir la gagne pour les murs détruits et les arbres couchés qui se redressent Pour les vents du nord et les soleil marocains Les verres de vins tendus pour les instants de mort Les femmes nues, les yeux brillant des soirées de fêtes Pour les parfums, la chaleurs de nos corps et les étreintes Je me relève, j'apprends à vivre De cette branche, de ces épines Je donne du sang, du sens à ma course Embrassé par les éléments La densité des terres Des corps de poussière, je me souviens Au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile Des corps de poussière, je me souviens Au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile ♪ Des corps de poussière, je me souviens Des corps de poussière, je me souviens Qu'au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile Des corps de poussière, je me souviens Au bord d'une nuit claire, brille une ancienne étoile