Je n'ai de salut que dans un coup de poing. Que je ne vous adressais pas. Qui finira sous mon oeil. Parce que nous avons refusé. Je protége ce qui me mange. Je vais sourire pour toujours, en sentant le chair gonflée. Car tout disparaitra. Mais une crevasse sur mon visage Vous rappellera que ce qui doit étre juste, Ne doit pas étre brisé: Aujourd'hui, sur une feuille. Demain brülée, Le Troisiéme Jour, en vos miroirs.