L'amour qui remplace les maîtresses Ne laisse que la peur dans mes yeux La vie qui m'arrache à ma jeunesse Me donne un sourire religieux Une dernière partouze, une partie d'fesses Avant de demander aux dieux De me pardonner tous les gestes Qui m'éloignent d'eux Je n'veux pas vivre au bout d'une laisse Je pourrais me pendre, c'est dangereux J'ai peur que le feu de l'ivresse S'éteigne au fond de mes yeux Mais ton cœur habite la bonne adresse Loin des amours paresseux Ici, je ne manque pas de caresses Car une des tiennes en vaut deux Et malgré toutes mes bassesses Si tu veux m'apprendre à aimer Je serai l'élève et toi, la maîtresse J'empêcherai ta fleur de faner