(Adaptation en italien d'une chanson de Georges Brassens, dont voici les paroles originales) Quand je vais chez la fleuriste Je n'achète que des lilas Quand je vais chez la fleuriste Je n'achète que des lilas Si ma chanson chante triste C'est que l'amour n'est plus là Comme j'étais en quelque sorte Amoureux de ces fleurs-là Comme j'étais en quelque sorte Amoureux de ces fleurs-là Je suis entré par la porte Par la porte des Lilas Des lilas y en n'avait guère Des lilas y en n'avait pas Des lilas y en n'avait guère Des lilas y en n'avait pas Z'étaient tous morts à la guerre Passés de vie à trépas J'suis tombé sur une belle Qui fleurissait un peu là J'suis tombé sur une belle Qui fleurissait un peu là J'ai voulu greffer sur elle Mon amour pour les lilas J'ai marqué d'une croix blanche Le jour où l'on s'envola J'ai marqué d'une croix blanche Le jour où l'on s'envola Accrochés à une branche Une branche de lilas Pauvre amour tiens bon la barre Le temps va passer par là Pauvre amour tiens bon la barre Le temps va passer par là Et le temps est un barbare Dans le genre d'Attila Aux coeurs où son cheval passe L'amour ne repousse pas Aux coeurs où son cheval passe L'amour ne repousse pas Aux quatre coins de l'espace Il fait le désert sous ses pas Alors nos amours sont mortes Envolées dans l'au-delà Alors nos amours sont mortes Envolées dans l'au-delà Laissant la clé sous la porte Sous la porte des Lilas La fauvette des dimanches Celle qui me donnait le la La fauvette des dimanches Celle qui me donnait le la S'est perchée sur d'autres branches D'autres branches de lilas Quand je vais chez la fleuriste Je n'achète que des lilas Quand je vais chez la fleuriste Je n'achète que des lilas Si ma chanson chante triste C'est que l'amour n'est plus là