Dans le désordre des années Des nuits complètes à essuyer Ces bancs de blanc, ces grands vents de fumer Qui au matin se cache sous ton lit de glace Jusqu'à ce que tu revienne Qui au matin se cache sous ton lit de glace Jusqu'à ce que tu revienne Pour toi je me serrais fait couper les deux bras Mais, la douleur est peu pour moi Je t'aurais donné la lune mais elle ne m'appartenait pas Je t'aurais donné ma vie une seconde avant ma mort Pour te donner le désire de vivre plus fort Pour moi c'est très lourd à porter Silence que tu laisse s'installer Mais, sans le poids je l'entend penser Mhh nos faux semblables à toi et tes états d'âme Jamais de demi-mesure, jamais de moitié Mhh nos faux semblables à toi et tes états d'âme Jamais de moitié Pour toi je me serais fait couper les deux bras Mais, la douleur est très peu pour moi Je t'aurais donné la lune mais elle ne m'appartenait pas Je t'aurais donné ma vie une seconde avant ma mort Pour te donner le désire de vivre plus fort Avec toi je pourrais retourner là où le sol, c'est effondré À deux revoir ce qui se passait Mais, si tu m'laissais tomber quelqu'une de tes âmes Quand bien je te ferai Pour toi je me ferrais couper les deux bras Mais, la douleur est peu pour moi Je t'aurais donné la lune mais elle ne m'appartenait pas Je t'aurais donné ma vie une seconde avant ma mort Pour te donner le désir de vivre plus fort Pour toi je me ferais couper les deux bras mais Mais, la douleur est peu pour moi Je t'aurais donné la lune mais elle ne m'appartenait pas Je t'aurais donné ma vie une seconde avant ma mort Pour te donner le désir de vivre plus fort