Allez réveille-toi putain Allez Ouais faut que tu te lèves maintenant Acro Seul sur la place, je fais le tour Je fais un tour dans la nuit Dans ma ville, dans ma vie Je suis surpris quand rien n'arrive Dans l'abîme, à l'abri, pas besoin du cannabis Pour écrire mes textes, je cherche profond dans l'abysse On n'oublie trop souvent la colère de quelqu'un qui aime La bohème à sa fin, et je crois bien que c'était hier Et je crois bien que c'était hier Et l'amour à ses façades tu t'en rends compte quand t'es pas là Des photos sur Insta Pourtant ta meuf se fait rincer Par un autre Par un autre Mais soi-disant t'es parano Tu l'as remarqué sitôt Quand vous faites l'amour et qu'elle pense à un autre Elle tourne la tête à droite, à gauche Avant de sortir chez elle, à chaque saison Tu la suivais comme vieux démon Elle-même devenait parano Bien sûr qu'elle est fautive de ça Le jour les pleurs deviennent obstacles Évidemment que tu vois le mal Quand tu te retrouves seul à l'hôtel Mais devant les copines elle dira que c'est ta faute Que t'es un gros connard, que t'as pas su la garder Bien sûr que c'est maussade C'est démodé de pleurer pour ça Donc tu vas te consoler en détruisant une âme seule Et elle s'attache comme hameçon Et tu t'alcoolises à nouveau C'est délicat, tu cherches ta dose À courir seul t'en perds ta force On n'oublie pas, on oublie trop On n'oublie pas, on oublie trop Bien sûr qu'elle est fautive de ça Le jour les pleurs deviennent obstacles Évidemment que tu vois le mal Quand tu te retrouves seul à l'hôtel Seul à l'hôtel