Quand le hasard me guide au bords de l'océan, De celle que j'aperçois quand le temps est clément Tu est ma préféré sans bruit et sans auto Et pour aller te voir je prendrais le bateau. C'est pourquoi ce matin j'embarque dans la navette au milieu des Pêcheurs sous le vol des mouettes et voyant au lointain ton profil Verdoyant ou j'irais toute a l'heure tranquille et non chaland Traversant le village et ses roses tremeilleres, Qui bordent les maisons toutes blanche en lumière Bercer par le murmure des vagues qui emporte un Peu plus chaques jours ton rocher qu'elles grignotent. Je rejoins le sous bois les chênes et les pins qui arrête le vent où Monte les parfums que le sentier m'emmène au bord de la Falaise où s'ouvre un coin de sable de silence et de rêve. Et le soleil décline il faut s'en retourner et prendre encore le Temps sur la place ombragée de déguster les moules arrosés De blanc frais jusqu'au coup de sirène qui me ramène au quai. C'est en quittant le port triste mais rassasié je ne Peux m'empêcher d'avoir une pensée que vont ils faire de toi? Je suis bien tranquille allez tu est Bien trop petite tu resteras mon île Tu est bien trop petite resteras mon île