Au coeur des plantes qui poussent Aux yeux du temps qui passe Devrons-nous avouer à la fin de nos jours Avoir manqué d'audace? À la lueur de nos ardeurs Au soleil de nos amours À quand le souvenir de notre éternel retour? Quand le quotidien nous égare Et que le printemps se prépare Ne sommes-nous pas seulement que des vaisseaux de peau Qui écoutent le vent? Nos mots sont des sons qui vont loin Mais qui n'expliquent rien Ainsi les poèmes meurent d'envie De se lover dans nos mains Oui, valse à tous vents Que l'ici soit ailleurs Et tout de neuf Dans nos coeurs De pigeons Voyageurs Tout de neuf Dans nos coeurs De pigeons Voyageurs Et que l'ici Soit ailleurs Et que l'ici soit ailleurs Au coeur des plantes qui poussent Aux yeux du temps qui passe Devrons-nous avouer à la fin de nos jours Avoir manqué d'audace? À la lueur de nos ardeurs Au soleil de nos amours À quand le souvenir de notre éternel retour? Quand le quotidien nous égare Et que le printemps se prépare Ne sommes-nous pas seulement que des vaisseaux de peau Qui écoutent le vent? Nos mots sont des sons qui vont loin Mais qui n'expliquent rien Ainsi les poèmes meurent d'envie De se lover dans nos mains Oui, valse à tous vents Que l'ici soit ailleurs Et tout de neuf Dans nos coeurs De pigeons Voyageurs Tout de neuf Dans nos coeurs De pigeons Voyageurs Et que l'ici Soit ailleurs Et que l'ici soit ailleurs Et que l'ici soit ailleurs Et que l'ici soit ailleurs...