Je sais, tout part et revient Même les chagrins qu'on croyait éteints Le feu brûle dans ses cendres Et peut bien reprendre au petit matin Je sais que tout les navires dérivent Et chavirent le coeur des marins Mais je n'imaginais pas que vivre sans toi c'est vivre pour rien Tu pars, tu me condamnes Et j'ai mal quand tu me dis Tous les bouquets se fanent Les fleurs du mal aussi Tu ignores mes larmes Tu parles et me redis Tous les bouquets se fanent Les fleurs se meurent Parfois d'ennui (Tous les bouquets se fanent Même les fleurs du mal se fanent aussi) Tu es comme les enfants Comme les oiseaux blancs Tu voudrais t'envoler On peut larguer les amarres Jamais la mémoire ne peut s'effacer C'est vrai qu'on cherche toujours L'impossible amour qui parait si loin Mais je n'imaginais pas Que vivre sans toi c'est vivre pour rien Tu pars, tu me condamnes Et j'ai mal quand tu me dis Tous les bouquets se fanent Les fleurs du mal aussi Tu ignores mes larmes Tu parles et me redis Tous les bouquets se fanent Les fleurs se meurent Parfois d'ennui Tu pars, tu me condamnes Et j'ai mal quand tu me dis Tous les bouquets se fanent Les fleurs du mal aussi Tu ignores mes larmes Tu parles et me redis Tous les bouquets se fanent Les fleurs se meurent Parfois d'ennui Tu pars, tu me condamnes Et j'ai mal quand tu me dis Tous les bouquets se fanent Les fleurs du mal aussi Tu ignores mes larmes Tu parles et me redis Tous les bouquets se fanent