Tu disais toujours "J'veux pas mourir con J'voudrais tout connaître Tous les plaisirs, toutes les fêtes Avant d'partir me s'couer la tête" Tu vivais toujours dans tes rêves Ils étaient souvent artificiels Tu prenais dieu dans tes veines Malgré ça, t'étais à la traîne Malgré, à cause, qu'est-ce que j'en sais Moi j'ai jamais touché à tes rêves J'me suis arrêté avant qu'ça craigne Avant qu'mes dents quittent mon palais J'te r'gardais partir sans rien dire Quand j'l'ouvrais tu t'en foutais T'étais déjà bien mal barré Tu voulais trouver le parfait À trop chercher, tu t'es paumé T'as oublié ceux qui t'aimaient Ceux qui t'ont dit "Fais gaffe quand même Tu sais qu'par-là, y'a ceux qui craignent" Tous ceux qui transpirent la colle T'ont traîné dans leur école T'y ont laissé, un soir de mai Le bras pourri, les yeux rincés Aujourd'hui, je r'garde ta mère pleurer J'saurais pas trop comment la consoler Lui dire, peut-être, qu'elle y est pour rien Et que comme elle, j'ai du chagrin J'en vois une volée de comme toi Qui consomment pour se marrer À chaque fois, ça m'fait flipper Dans chacun d'eux, j'vois un peu d'toi Tu disais toujours "J'veux pas mourir con J'voudrais tout connaître Tous les plaisirs, toutes les fêtes Avant d'partir me s'couer la tête" Tu vivais toujours dans tes rêves Ils étaient souvent artificiels Tu prenais dieu dans tes veines Malgré ça, t'étais à la traîne À cause de ça, t'étais à la peine À cause de ça, t'étais à la peine