Ce soir là, t'étais Florentine Dans la ville où coule l'Arno Aussi belle que Florentine Le ciel tanguait notes d'oiseaux C'est vrai qu'on entonnait ces mots sublimes Et on vit dans un autre temps Ce soir là t'étais Florentine Éclairée d'or par le couchant Dans la chambre y avait des roses Des anges qui nous souriaient Sous leurs paupières mi-closes Ils nous inventaient un passé La lune entrait par la fenêtre En flot d'argent sur le satin T'étais Florentine et princesse Dans ce grand lit à baldaquin Ce soir là, t'étais Florentine, Dans la ville où coule l'Arno Aussi belle que Florentine Le ciel tanguait notes d'oiseaux C'est vrai qu'on entonnait ces mots sublimes Et on vit dans un autre temps Ce soir là t'étais Florentine Éclairée d'or par le couchant Il y a des nuits que l'on respire Comme des parfums doux et doux Cette nuit là ma Florentine L'amour avait le goût d'amour On a bu le vin des poètes Celui qui mène jusqu'à l'oubli Moi je le buvais sur tes lèvres, Dans tes cheveux d'après minuit Ce soir là, t'étais Florentine, Dans la ville où coule l'Arno Aussi belle que Florentine Le ciel tanguait notes d'oiseaux C'est vrai qu'on entonnait ces mots sublimes Et on vit dans un autre temps Ce soir là t'étais Florentine Éclairée d'or par le couchant Comme l'éclat d'anciennes fêtes Ou comme un rêve interrompu Je me souviens de notre tendresse Et de mes mains sur ton corps nu C'est vrai qu'on??? transpose On va plus loin que la raison Et sans amour Tu sais des choses Ne seraient rien Que ce quelles sont Ce soir là, t'étais Florentine, Dans la ville où coule l'Arno Aussi belle que Florentine Le ciel tanguait notes d'oiseaux C'est vrai qu'on entonnait ces mots sublimes Et on vit dans un autre temps Moi c'est ainsi que je veux vivre Ma Florentine, je t'attends