J'aime quand tu aimes en majuscules, Tous tes mots d'amours en minuscules, Et puis ton accent grave de circonstance, Ton passé composé en mon absence. J'aime le parfait de tes attributs, Le très singulier de tes cris aigus, Autant que de silences en suspenssions, Pour complément d'information. Il n'y a pas d'amour Sans sujets qui fâchent, (Ah Ah AhAh) Sans verbes qui se crachent, (Ah Ah AhAh) Et sans objets qui cassent, (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour... (Ah Ah AhAh) J'aime tes grands airs de: "Je n'en peux plus, de conjuger l'amour avec le cul" C'est si bon quand tu mets les points sur les "i", Entre parenthèses tu es bien plus sexy. Il n'y a pas d'amour Sans sujets qui fâchent, (Ah Ah AhAh) Sans verbes qui se crachent, (Ah Ah AhAh) Et sans objets qui cassent, (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour... (Ah Ah AhAh) Il y a des temps où tout s'arrête, Et tant d'autres où tu t'entêtes, Ces interrogations qui nous démangent, Et ces mots qui jamais ne changent!! Comme ces sujets qui fâchent, (Ah Ah AhAh) Ces sujets qui se crachent, (Ah Ah AhAh) Et ces objets qui cassent, (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour... (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour (Ah Ah AhAh) (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour (Ah Ah AhAh) (Ah Ah AhAh) Il n'y a pas d'amour Sans sujets qui