Je suis entre 2 états Un peu trop hésitant Donc je saute les étapes Comme si c'était une évidence Jeune enfant lévitant Évitant l'ère des tass Il attend jusqu'à la fin des temps Jusqu'à ce qu'il les efface Mais tous les ans L'hiver et l'automne Le printemps, l'été L'Enfant seul Mène une vie monotone Dans la réalité Simple victime de son sort Car Fils de l'humanité Le chaud le tire de son somme Et le froid le fait s'aliter Y'a des jours comme ça Dans le chaud et dans le froid Dans la joie et dans l'effroi Y'a des jours comme ça (comme ça...) Y'a des jours comme ça De la chaleur de la foi À la froideur de la voix Y'a des jours comme ça (comme ça...) Il Faut que je retrouve Un juste millieu La flamme dans mes yeus Mais quand je me tourne Je ne vois que des loups Et des mains envieuses Face à mes doutes Je rêve de million D'une histoire merveilleuse Vite fait le tour De cette vie dans l'ombre Moi je la trouve ennuyeuse Donc je l'illumine Avec un crayon Et quelques idées neuves Nouveau millénaire Le grand L vient sublimer l'oeuvre Fils suit bien mes lèvres Chaque souffle peut comprimer l'air Et le changer par magie en plus d'une infinité de lettre Est-ce le hasard Ou bien la création Suis-je de passage Ou dans une grande récréation L'univers glaciale Les atomes et les ions Le vaisseau spatiale Dans le ciel, les aliens et les sondes Peu de réponse aux questions Qui me suivent même jusque dans mes songes Depuis l'adolescence, Ce monde m'a bercé d'illusion Donc j'exprime dans mes sons Ce qui me reste de l'enfant innocent Qui rêve de sa future maison Avec une grande piscine au centre Mais grandir me fait du tort Toujours à dire qu'il me faut du temps Pour faire des choix pourtant douteur Au fond j'suis qu'un petit bout de terre Donc j'veux parler sans me taire Puis déclarer mes droit d'auteurs Tu sais qu'l'art est dans nos gênes Tellement qu'l'or est dans nos veines N'aie plus peur de l'enfer Admire la beauté quand l'eau gèle Beaucoup de discours élogieux Tout pour justifier nos chaines Mais c'est pas quand tu seras vieux Que tu pourras déloger nos chefs L'histoire était belle Dans l'éden Mais elle se répète Et nous perd dans une mer faite de ténèbres Tout à son s'inverse comme dans tenet Une cause a effet comme l'averse et le tonnerre La faute et le déni La faune et la flore La fonte et l'amerique Le feu et la force Dans le fond il l'invoque Pour lui demander la voie Et pour lui mandier l'avoine L'heure est grave Car leur cœur est froid Au lieu d'être chaud Car Ils ont fait leur choix Celui de l'autre chose Donc Il gagne en trichant Les cadres et dirigeants Et leur fausse égalité des chances Volent les qualité des gens Et les changent, au fil du temps En une vulgaire monnaie d'échange nan Mais ils osent parler de changement Y'a des jours comme ça Dans le chaud et dans le froid Dans la joie et dans l'effroi Y'a des jours comme ça (comme ça...) Y'a des jours comme ça De la chaleur de la foi À la froideur de la voix Y'a des jours comme ça (comme ça...)