Encore un son,
Mais la c'est pas pareil,
J'ai brûlé, j'écrivais des textes mais le son ne ressort
Plus de l'appareil,
C'est tout comme les autres tu ne relis pas la thèse,
Il est mort, tu peux voler ses liasses,
Et déposer le corps sur la pile qui nous pèse,
Des humains en deuil, des daronnes en pleurs,
Qui viendra faire sonner en avance mon heure?
Des nuits que ça dort plus, j'sais pas quel jour on est
Depuis que j'suis tombé du 7ème étage,
Cavale, ne te retourne pas,
Ça brille, la j'ai mal mais la craie ne m'entoure pas,
Ce sont des récits qui voient la lumière comme des rappels,
J'ai enterré mon âme dans la main, j'avais la pelle,
J'ai crié, j'ai crié, j'oublie comment je vois,
J'ai l'impression de le dire mais j'sais plus comment j'm'appelle,
Ta ge-gor entaillée des peuples et des anciens te
Disent que le sort n'est que médicinal,
Tu feras beleck des mois que j'tabasse,
T'as l'impression que j'règne sur tous les décibels,
Disons que je m'y connais, si tu dois t'as l'bigo,
J'aime pas téléphoner,
Enculé,
T'as menti, j'le sais donc tu pries pour que Dieu puisse
Avant me résonner,
J'ai que très peu d'amis, des humains j'en ai pas,
J'ai la réf du démon qui vient miser tapis,
La "bala" t'achève même si tu crois que tu cavales
Avant que le démon vienne briser tes appuis,
J'suis bientôt en bénéf quand j'vois le te-comp sur le pénave,
Que j'm'apprête à devenir un Kalif,
J'ai l'baveux impliqué qui revient de Telav',
Qui m'ramène un couteau qui peut trancher ta miff,
Des morts et du béton sont coulés dans l'garage,
J'en ai vu des choses qui m'empêchent de dormir,
Du bétail avalé par l'homme qui répond par un sort
Quand c'est l'heure de mourir,
J'suis dans l'pourri, j'sais pas ce qu'il s'est passé,
J'aperçois la fin mais c'est rien qu'une façade,
T'as vendu ton cul pour te voir me dépasser
Mais triche comme tu veux, nous on sait qui c'est la salope,