Ooh ooh oh Un matin, le soleil qui se lève comme un rêve qu'on oublie peu à peu Un refrain, des chemins, le souvenir qu'on voulait faire de son mieux Et la pluie qui s'annonce comme les larmes d'une rivière sans fin La raison, commun oiseau qui s'envole un peu trop loin à l'horizon Qui perd peu à peu le contrôle de son destin, glisse entre mes mains La saison, n'est pas propice aux doutes ni aux illusions J écris des mots sur ma liste comme de simples intentions Je perds ma voix je ne sais plu où je vais Je m abandonne mais je garde la foi J'en ai versé des rivières de larmes en silence que le ciel me pardonne Mais je crois toujours en moi, en toi et moi Il est des automnes des jours monotones, des mots qu'on pardonne Et toujours le mêmes airs qu'on fredonne Il est des automnes, où on s'abandonne quand nos coeurs frissonnent Il est temps qu'on se pardonne Même s'il faudra du temps pour effacer ces instants Je sais on y arrivera La vie à ses contre temps J ai su combattre sous le vent Je sais Je suis redevenue moi ah ah ah ah Redevenue moi Il est des automnes des jours monotones, des mots qu'on pardonne Et toujours le mêmes airs qu'on fredonne Des automnes, où on s'abandonne quand nos coeurs frissonnent Il est temps qu'on se pardonne. Hmm hmm Ooh ooh ooh ooh