Je te souhaite une vie périlleuse De grands boulevards lumineux Des creux de vagues en plein milieux Des sorties d'urgences radieuses, Je te souhaite des nuits agitées De quelques points de suspension De rentrer chez toi te coucher Après le tout dernier rebond La question est la même La question éternelle Avec le temps les nuits se chargent de sommeil La question est la même La question éternelle Avec le temps Avec le temps Avec le temps Je te souhaite un grand feu de paille Et que ta peau soit adorée Et que ton corps soit un brasier Et que ce ne soit jamais banal Banal Un jour peut-être tu comprendras C'était une question de survie On avait pas vraiment le choix J'ai flingué la monotonie La question est la même La question éternelle Avec le temps les nuits se chargent de sommeil La question est la même La question éternelle Avec le temps Avec le temps Avec le temps La question est la même La question éternelle Avec le temps les nuits se chargent de sommeil La question est la même La question éternelle Avec le temps Avec le temps Avec le temps La question est la même La question éternelle Avec le temps les nuits se chargent de sommeil La question est la même La question éternelle Avec le temps Avec le temps Avec le temps La question est la même La question éternelle La question est la même La question éternelle