Ecoute comme il fait beau dans ma chanson.
Sens-tu l'air chaud et le frisson?
C'est le parfum de nos vacances.
Viens, regardons passer les saisons.
A vol d'oiseau, à l'horizon.
Et sous nos pieds le vent qui danse.
Viens, voyager en terrain connu...
Vois, comme le temps passe et prend son temps!
Dans la maison de nos vingts ans, dans les cabanes de notre enfance.
Viens, il nous reste encore des étés.
Tant de printemps de champs de blé! De rires d'enfants et d'insouciance.
Ecoute, comme il fait beau quand on y songe.
Et y'a le soleil qui s'allonge, se réveiller sous sa caresse.
Viens, retrouvons l'arbre d'autre fois, ce vieux platane qui, sur ses bras,
Garder nos prénoms, nos promesses!
Viens, voyager en terrain connu...
Vois, comme le temps passe et prend son temps!
Dans la maison de nos vingts ans, dans les cabanes de notre enfance.
Viens, il nous reste encore des étés.
Tant de printemps de champs de blé! De rires d'enfants et d'insouciance.
Ce n'est pas loin c'est juste hier.
Le même chemin, la même prière, des fruits verts et des fleurs fanées.
Viens, je t'attendrais sans impatience, tes pas ferons taire le silence, nos rêves n'aurons pas oubliés!
Vois, comme le temps passe et prend son temps!
Dans la maison de nos vingts ans, dans les cabanes de notre enfance.
Viens, il nous reste encore des étés.
Tant de printemps de champs de blé! De rires d'enfants et d'insouciance.
Vois, comme le temps passe et prend son temps!
Dans la maison de nos vingts ans, dans les cabanes de notre enfance.
Viens, il nous reste encore des étés.
Tant de printemps de champs de blé! De rires d'enfants et d'insouciance.
Viens, voyager en terrain connu...