L'été, l'été souverain Peut bien nous bercer Tout le long des rues, sillonne-les, sillonne-les C'est drôle en l'absence De freins, si tu penses Qu'on peut arrêter Oh, arrêter Oh, ne prends rien Non, ça vaut mieux Ça ne changera rien Du moins S'il pleut Oh, si tu veux bien J'irai visiter les villes qu'on avait survolées, survolées C'est drôle en l'abscence De faim, si tu penses Qu'on doit arrêter Oh arrêter Oh, ne prends rien, non, ça vaut mieux Ça ne changera rien Du moins, s'il pleut Oh, prends l'argent, dis Allez, fous le camp Divise ça en mille si tu veux Si ça va trop vite, oh dis-le Les promesses, ma jeunesse J'aime encore l'été délicieux Les rives et les printemps heureux La bohème, oh la bohème