[Lui]: Que les femmes sont belles Que les femmes sont belles Accrochées aux branches des arbres immenses Des colliers de fleurs autour des hanches Tissant des toiles Tissant des toiles Que les femmes sont douces Je les trouve si douces Quand je les caresse dans mes rêves soudain Mille maîtresses se portent en dessous Dentelle et voile Dentelle et voile Mais toi, où es-tu? Pourquoi es-tu venue effleurer mes nuages Moi pleurant ton passage Eclair Un jour tu disparus Ne laissant trace de ta venue Qu'un ciel d'orage retenu Dans mon jardin désert Crois-moi, tu n'es pas mort En moi, s'agite encore Un peu de toi Un peu de toi Un peu de toi [Elle]: Que les hommes sont belles Que les hommes sont belles Il luit dans leurs yeux des terres étranges Il pleure dans leur coeur des mers qu'ils franchissant les voiles Hissant des voiles Que les hommes sont tendres Je les trouve si tendres Qu'une vague caresse entre mes hanches Qui s'écoule enfin dentelle blanche Et puis s'étale Et puis s'étale Et toi, où es-tu? Es-tu vraiment parti un jour pour ce voyage Dont tu me vantais les mirages Amers Un jour tu disparus Me laissant frêle et toute nue Au milieu seule de cette rue Par terre Crois-moi, tu n'es pas mort Ce soir, je pleure encore Un peu de toi Un peu de toi Un peu de toi [Lui]: Que les femmes sont belles [Elle]: Que les hommes sont belles [Lui]: Que les femmes sont belles [Elle]: Que les hommes sont belles