Lorsque sur l'air d'une rumba cubaine Tout contre toi, pour danser, tu m'entraînes Hoho, hoho En me frôlant ta main qui me dirige Fait naître en moi le plus troublant vertige Hoho, hoho Sous tes doigts Sans m'expliquer ce qui se passe en moi Je ne suis plus rien qu'une chose à toi Qui frémit d'une ardente fièvre Sous tes doigts Les yeux fermés je m'abandonne à toi Et l'on dirait que tout le long de moi Voltigent tes lèvres Quel bonheur De sentir mon cœur si près de ton cœur Quel plaisir De palpiter au gré de ton désir Sous tes doigts Comme un violon ne vibrant que pour toi Tout mon être maîtrisé malgré moi Frémit sous tes doigts Dès que ton bras emprisonne ma taille Pour m'attirer, je tremble et je défaille Hoho, hoho Sans opposer la moindre résistance Tout mon désir vers ton désir s'élance Hoho, hoho Sous tes doigts Sans m'expliquer ce qui se passe en moi Je ne suis plus rien qu'une chose à toi Qui frémit d'une ardente fièvre Sous tes doigts Les yeux fermés je m'abandonne à toi Et l'on dirait que tout le long de moi Voltigent tes lèvres Quel bonheur De sentir mon cœur si près de ton cœur Quel plaisir De palpiter au gré de ton désir Sous tes doigts Comme un violon ne vibrant que pour toi Tout mon être maîtrisé malgré moi Frémit sous tes doigts Hoho, hoho