Jalouse des fleurs et du vent Des danses andalouses Et des goélands Jalouse, jalouse Comme les enfants De ce qui me prend ton coeur un instant Cet oiseau de passage Qui chante et qui est sourd Vient les soirs d'orage Pour te parler d'amour Ce brillant dans tes yeux Que t'allumes parfois Pour un rien pour un jeu Que j'allume moi Ces femmes qui te maquent D'un mouvement de hanche Parc'qu'elles ont lu dimanche écrit dans leur zodiaque La nuit des bleus pétrole Quand passent aux aveux Ces filles dont les feus Ne brûlent qu'à l'alcool Jalouse, jalouse Des fleurs et du vent Des danses andalouses Et des goelands Jalouse, jalouse Comme les enfants De ce qui me prend Ton coeur un instant Des parfums de l'été Que tu cherches dans la rue Comme un refrain perdu Que tu veux retrouver Tous ce rouge carmin Sur des lèvres gourmandes Quand les miennes ne commande Que des baisers copains Les regards amoureux De tes vielles idylles Quand elle mendient tes yeux D'un battement de cils La foule qui n'a pas vu que tu tenais ma main Et qui me mêle quand elle est encore trop loin Jalouse, jalouse Des fleurs et du vent Des danses andalouses Et des goélands Jalouse, jalouse Comme les enfants De ce qui me prend Ton coeur un instant Jalouse, Jalouse, Jalouse