Il paraît, qu'il faut pas trop rêver Quand c'est trop beau Bah c'est pas vrai Mais quand c'est trop beau C'est jamais assez Pour l'irrésolus, que rien n'effraie Quitte à s'y casser les dents Ou à en perdre la tête Contre des moulins à vent Une défaite n'est jamais une défaite Puisque la fortune sourit aux audacieux Soyons réalistes, exigeons l'impossible Même si l'ont obtient pas toujours ce que l'ont veut Admirons l'idéaliste incorrigible On admet bien l'inadmissible Je n'ai rien, que ce général vaincu Qui signe l'armistice dans l'honneur Je suis le mauvais, perdant perdu Qui discute tous les points, et qui pleure Ce soir je veux croire Aux lendemains qui chantent Tambours et fanfare Essayons pour voir, ça se tente Puisque la fortune sourit aux audacieux Soyons réalistes, exigeons l'impossible Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut Admirons l'idéaliste incorrigible On admet bien l'inadmissible ♪ Moi aussi, j'veux croire au paradis Pas forcément perdu, pas forcément fiscal Et puis j'me dis Peut-être que les choses s'arrangent au final Même si c'est la semaine des quatre jeudis Quand les poules auront des caries Que nos grands hommes disparus se poseront Sur des statues de pigeons Puisque la fortune sourit aux audacieux Soyons réalistes, exigeons l'impossible Même si l'ont obtient pas toujours ce que l'ont veut Admirons l'idéaliste incorrigible Puisque la fortune souri aux audacieux Soyons réalistes, exigeons l'impossible Même si l'ont obtient pas toujours ce que l'ont veut Admirons l'idéaliste incorrigible On admet bien l'inadmissible ♪ Admirons l'idéaliste incorrigible ♪ Même si l'ont obtient pas toujours c'que l'ont veut