Pas rentrer ce soir, voir de la vie des visages N'importe où de la lumière et du passage Des gens vivants, de la musique et des chants Dans les bars laisser des pourboires exorbitants Pas rentrer ce soir, se perdre dans la ville, Dans l'ivresse du moment simplement être vivant Se dire que ce soir pour une fois on aime les gens Frôler des inconnus, l'amour des passants Les vêtements légers mais encombrants Se sentir nu et brûlant pourtant Aux fenêtres des voitures les chants de la fête Chercher une devanture la main sur la braguette Sur les Batignolles les phares des bagnoles Chercher l'amour dans des coins bizarres Là où il peut encore vous brûler, Trainer en robe du soir Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian Et Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie Paris est une fête mais la fête est finie, mais la fête est finie Paris est une fête Pas rentrer ce soir, les ravissantes qui vous regardent Comme une pièce de musée, une espèce rare à épingler Pas rentrer ce soir, croiser les deniers fêtards qui vont se coucher Vous klaxonnent et vous traitent de PD Vous dire que vous avez rêver, dormir sur le trottoir, avez été renversé Aux fenêtres des voitures les chants de la fête Chercher l'amour dans des coins bizarres Là où il peut encore vous brûler, Trainer en robe du soir Sur les grands boulevards devant chez Boris Vian Et Paris est une fête mais la fête est finie, Mais la fête est finie, mais la fête est finie Paris est une fête mais la fête est finie, Mais la fête est finie, mais la fête est finie Paris est une fête mais la fête est finie, Mais la fête est finie, mais la fête est finie Paris est une fête