Une fois de plus, je ressors en pleurs de mes s J'en perds mon algèbre, d'où mon surplus de pleurs superflus Si nos jours sont ravagés, sauvageon soit plus agile Jeune incivil réagit Regarde donc la peine quintessence de mon désarroi J'ai dû trop de fois craquer du briquet Pourquoi ai-je pris tant de claques pour changer de décor? Désormais, il est temps pour moi de me libérer de mes chaines J'ai trop de fois été choyé par le sanglot du sang Sans toutes ses haleines fétides! Sache qu'il est vrai qu'un chien ne peut te mordre lorsqu'il est muselé Tenterais-tu d'usurper mon charisme Le Christ ne te suffit-il donc plus? J'ai cette fâcheuse tendance à prendre la mouche... Aveuglé par tant de fourberie, je n'entends que les cris Odieux du fond de mes poches J'emmerde les conflits sociaux stratégiques Et tous les diplômés de nos grandes écoles Que l'on forme dans l'idée de finir le sale boulot Ils souhaitent tous qu'on me bâillonne Mais tant que l'Afrique ne sera pas libérée Je serai chez moi partout dans le monde! Le tonnerre gronde sur ma vile, négro On me suspecte de trop croiser le fer Contre les spectres d'une fâcheuse histoire Serais-je le Don Quichotte des temps modernes L'homme que l'on shoote sur les piloris Celui qui en stud' ne fais pas de One Shot K.R.E.G.O.R. frangin, voilà 6 lettres nominatives Qui te résument les ébats de ma souffrance Enfants et fils d'une terre écartelée Je m'en remets à un quelconque pouvoir céleste Qui me libérera de mes barbelés Mon cœur se brise et j'entends ses battements J'en pose une contre tous ces pourvoyeurs de ragots Qui m'épatent rarement Contrairement à ceux qu'on entrave en aucun cas, je me prive Une brève brise de colère sur cet amont de rage ne peut me détruire Mes nuits sont ponctuées de rêves obscurs L'œil humecté de pleurs, je me re réveille de mes cauchemars Dévorés par de noires songeries Rongés par un désir sans trêve de trouver la brèche Mec, je me sens comme sous la menace d'une arme La mort d'un être cher nous serre le cœur Il est donc sûr que la morsure d'un serpent reste mortelle Du bas de mes hautes tours, Babylone crève sous les caprices de Lucifer Étrange beauté sous un voile cruel Crois-tu vraiment que les bandits meurent de vieillesse? C'est par coupures de presse que j'ai appris la mort de Mesrine Pour ceux qui s'empressent de brasser des liasses Sachez que le chien en laisse a plus de rage que la caniche de luxe J'ai vécu comme un kamikaze à vive allure comme un voyou Vois-tu comme il coûte cher de vivre libre Et que de dire des calibres du libre essor des narcotiques C'est le bordel dans les gardes à v' Quand nos gueules se cognent sur les portiques D'ici crache lâchement la haine des H.L.M Pyromanie passionnelle, héros dans l'abîme pour les garoches Je m'évertue à faire des vers de tuerie Mais ça m'ennuie que ma tirade soit la déprime d'une jeune premier J'ai compris ma crainte quand le choc brutal avec la brique Me gratifia d'une balafre encore une affre de ma vie d'ex-dur Est-ce plausible que la zone explose si bien Que nos gamins s'enlisent dans la boue [Refrain X4