C'est la nuit qui nous brûle sur des incendiaires
Vise l'incertitude la froidure, les lumières
Tordu aux crépuscules sur les murs centenaires
C'est la nuit qui nous brûle du printemps à l'hiver! x2
C'est la nuit qui nous brûle qui écorche nos secrets
Énigme insoluble incendie laxité
Course à l'altitude, pas de ligne d'arrivée
C'est la nuit qui nous brûle en automne, en été! x2
Et le temps passe, trafique les ondes, passe!
Lentement je tombe, face, je ne sais plus où je vais!
Et le temps glace, profite aux secondes, glace!
Lentement je tombe, trace, je ne sais pas si je vais ... passer la nuit!
C'est la nuit qui nous brûle d'une pudeur éphémère
Une vision occulte de la peur du mystère
Se perdre aux crépuscule sur les murs centenaire
C'est la nuit qui nous brûle du printemps à l'hiver! x2
Et le temps passe, trafique les ondes, passe!
Lentement je tombe, face, je ne sais plus où je vais!
Et le temps glace, profite aux secondes, glace!
Lentement je tombe, trace, je ne sais pas si je vais ... passer la nuit!
Passer la nuit! x2
C'est la nuit qui nous brûle puis reprend ses droits!
Dois-je mettre la virgule à près chaque rochets droits
Étrangère commune prisonnière sur les toits
C'est la nuit qui me brûle, la nuit ne m'auras pas!
La nuit ne m'auras pas! x2
Et le temps passe, trafique les ondes, passe!
Lentement je tombe, face, je ne sais plus où je vais!
Et le temps glace, profite aux secondes, glace!
Lentement je tombe, trace, je ne sais pas si je vais ...
Et le temps passe, trafique les ondes, passe!
Lentement je tombe, face, je ne sais plus où je vais!
Et le temps glace, profite aux secondes, glace!
Lentement je tombe trace, je ne sais pas si je vais ... passer la nuit