Ton corps, mes mains et du sable
Ton corps, mes mains et du sable
Le vent, nos phrases et le sablier
Retrouver ton corps sur dune de sable
(Combattre l'intérêt du vent)
Comprendre ce que le vent fait à nos phrases
(Comprendre fais à nos phrases)
Ma langue, ton bas ventre, le naufraaaage, (aaaaa)
Retrouver ton corps sur dune de sable
Toujours en esprit, en lacoste, en training
Sûr de moi, (ah toujours)
Jsuis rentré au pays, la peau se déséclaircie
Tu le voiiiiis, (tu le vois ah)
Baby, j'ai deux SIM, une pour mes tous tounsi
Une pour toi, (juste pour toi ah)
Donc appelle moi ce soir, (appelle moi ce soir)
Chez moi on voit encore les étoiles
J'cherche encore ma temporalité
J'serai pas là en temps et en heure
Si de l'argent sort un jour de mon cahier
Remets bien en question mon œuvre
P't'être que tu t'es sentie trahi, tant de changement
Je te souris comme Marcel Desailly, tu le prends mal
Baby j'galérais avec une saisine, j'ai pas pu rentrer pour te voir
Si je t'envoyais toutes ces maquettes
C'était p't'être pour m'excuser de ça
J'suis pas stable
Enterre moi sous toi
Le désert nous a-t-il condamné
C'est mieux ainsi
Retrouver ton corps sur dune de sable
(Combattre l'intérêt du vent)
Comprendre ce que le vent fait à nos phrases
(Comprendre fais à nos phrases)
Ma langue, ton bas ventre, le naufraaaage, (aaaaa)
Retrouver ton corps sur dune de sable
Toujours en esprit, en lacoste, en training
Sûr de moi, (ah toujours)
Jsuis rentré au pays, la peau se déséclaircie
Tu le voiiiiis, (tu le vois ah)
Baby, j'ai deux SIM, une pour mes tous tounsi
Une pour toi, (juste pour toi ah)
Donc appelle moi ce soir, (appelle moi ce soir)
Chez moi on voit encore les étoiles
J'suis pas stable
Enterre moi sous toi
Le désert nous a-t-il condamné
C'est mieux ainsi
J'suis pas stable
Enterre moi sous toi
Le désert nous a-t-il condamné
C'est mieux ainsi
C'est mieux ainsi
C'est mieux ainsi
C'est mieux ainsi
C'est mieux ainsi
C'est mieux ainsi
Yeah, ey, yeah
Oh j'ai connu, le bleu de la mer
Ton corps qu'on assaisonne de pigments de sel
Dans nos draps blancs, sur nos peaux l'odeur d'un cap
Au plus proche de terres plus vertes
Y a des poissons à foison
Des dorades, des loups de mer
Des sèches et des rougets
Un souvenir d'oranges d'hiver
Qui se découvre peu à peu sur tes pommettes
On a les mains, grasses de beignets, de repas en sauce
Et d'étreintes auxquelles on a laissé du temps
Les oiseaux du Nord, ne sont pas ici, ils sont là-bas
Et je ne sais plus si c'est chez nous
Autrui, c'est des balbutiements
Un désert qui nous est trop immense
Toun-si à fond
Je me sens pas toujours à ma place
Quand je comprends pas toutes les questions
Et que je réponds juste que j'sais pas, ah
Ah, men3arfech
Les mots qui sortent de nos gorges ne sont pas les bons
Ah, men3are-e-e-efech, piano
Si j'peux dire qu'c'est ma terre, ha
Si j'peux dire qu'c'est ma terre, ha
Si j'peux dire qu'c'est ma terre, ha