Eh t'es mignonne dis moi J'ai un cadeau pour toi: j't'offre un allé simple pour l'oubli J'en ai marre des schlags, j'ai mis la partie sur pause Pour aller dans la jungle comme Mowgli J'te parle souvent de mes démons Mais c'que j'te dis pas c'est que sans eux Y'a pas d'inspiration, pas de fragments Ni de Seventiine ou de Logos Pour avancer faut pas que j'les maîtrise Même s'ils me matrixent, mes écris remplacent mes cris Mes crimes quant à eux ne maigrissent pas Mais critique pas Y'a 4 mois j'fesais pas de peura merci mes démons Aujourd'hui, des fragments y'en a 13, le Terrier on est 7 Merci mes démons Mais nique mes démons Paradoxe Logos n'a ni queue ni tête Donc jvesqui le puis de malheur rempli de larmes de mon âme Amenez-moi des armes J'rafalle l'amour J'rafalle la mort J'rafale la maille J'rafale l'avenir hey! Si jmonte là-haut, j'met l'feu au paradis Faut qu'j'arrête de penser, j'crois que j'deviens parano J'suis coincé mes démons me paralysent Pourtant ils m'aident à écrire, paradoxe Paradoxe J'reconnais plus ma vie d'avant Mes souvenirs dans le vent Mais j'reste vif comme un enfant C'est magnifique Mes neurones manifestent contre Marie-Jeanne Jvais mourrir jeune L'esprit allégé Le corps allongé J'aurais plus qu'à longer l'horizon On s'reverra sur le rivage Dans tes rêves Et j'tourne en rond Pour ça que j'me répète dans mes textes Réveille la bête dans sa cachette Y'a son doigt sur la gâchette; Canon pointée sur la planète Jme sens planer. Ouais j'suis pas net (ouuuu) Mais j'men ballec. (ouuuu) Je souffre plus et j'rend pas les coups Et dans tous les cas J'finirai sur mon île ou coincé dans mon lit J'sors de la tempête mon esprit est en paix J'rattrape le temps perdu Si jmonte là-haut, j'met l'feu au paradis Faut qu'j'arrête de penser, j'crois que j'deviens parano J'suis coincé mes démons me paralysent Pourtant ils m'aident à écrire, paradoxe Si jmonte là-haut, j'met l'feu au paradis Faut qu'j'arrête de penser, j'crois que j'deviens parano J'suis coincé mes démons me paralysent Pourtant ils m'aident à écrire, paradoxe