J'suis passé des pastèques aux rimes, placé des casse-têtes horribles
Tu m'as dit "rase tes cornes", tu as tes codes, t'es catégorique
Pas dans la classe des choristes, mais dans la case des gorilles
Et t'aimeras pas c'décor, j'suis à té-co des catégories
Des tas de rois, des go reines, grosses frappes et gorets
M'ont dit "lâche tes gros rêves", mais mon dos se fera décorer
Brave garçon et gars rare, le son, le bruit du carhartt
Zappons le prix du gras, ma chanson le fruit du cara
T'as marché sous la grêle un peu ré-bou, t'es saoul? T'échoues
Tu pourrais piétiner mes graines
Qu'elles pourraient pousser sous tes shoes
Tu verras, le temps les braque, que la peur attend les braves
Je suis sorti des flammes portant 15 ans d'pe-ra dans les bras
Ça chante le peu de chance, les vrais savent
J'ai gratté qui m'demande sachant
Que peu de gens se lèveraient, sales phases, sale face
Moi, j'ai qu'toi, grande épidémie
Le rap en a dépité 1000, j'ai pas changé d'trajectoire en dépit des mines
À la longue, balles enrayées, tank sale
Voilà l'ombre, mais j'suis pas effrayé tant qu'ça
Peu importe, terre en friche ou Walhalla, mais ça les valait
Je la lâche, je me fiche où va la larme salée, allez
À la longue, balles enrayées, tank sale
Voilà l'ombre, mais j'suis pas effrayé tant qu'ça
À délaisser le vice t'apprendrais c'qu'une année t'donne
Fils te raconter le pire, ça m'prendrait qu'une anecdote (ouais, ouais)
On déconne, y avait des condés comme des nouch-mas là
On décolle, les re-frés tombaient comme des mouches malades
J'sais que le bateau est trop stable
Mais que les clefs sont au maton, ce que le bâton est au staff (brrr)
Porte de parloir, quelques rires et larmes
La came jurait entre deux parois qu'elle guérirait l'âme
C'était la dope, l'empaffé de parfum, d'ceux qui fouettaient l'enfer
Et des ados n'ont pas fait de la fin ce qu'ils souhaitaient en faire
Quand l'envie d'espérer me dessinait les os
Pourquoi m'a-t-elle laissé respirer, mais décimé les autres? (Hein?)
Et le vaurien devient profane
J'ai eu beau lâcher deux-trois textes
Mais gros rien de bien trop fat
On rôdait, on courait, j'avoue qu'le temps, ce chanceux
N'a pas vu que j'écrivais bourré, la boucle dans ce champ seul (tiens)
Découpe les carotides, le temps des coups des KO types
Putain dis-moi "y avait pas qu'des virgules dans tes couplets chaotiques"
À la longue, balles enrayées, tank sale
Voilà l'ombre, mais j'suis pas effrayé tant qu'ça
Et peu importe, terre en friche ou Walhalla, mais ça les valait
Je la lâche, je me fiche où va la larme salée, allez
À la longue, balles enrayées, tank sale
Voilà l'ombre, mais j'suis pas effrayé tant qu'ça
À délaisser, le vice t'apprendrait c'qu'une année t'donne
Fils te raconter le pire, ça m'prendrait qu'une anecdote
Ouais
À ceux qui ont joué (oui) qui ont perdu
À leur mémoire, frangin
Y a pas un visage que j'ai oublié
Yah, yo (rrah)
À mon corps de chien errant (ouais monsieur)
Le clan des chiens
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