Et je détruis tout ce qui est dur Et je souille tout ce qui est pur Tête ravagée dans la tourmente Et pour mieux tout mépriser je chante... Oui je me traîne au milieu des rats Fermant ma gueule mais ressentant parfois Une pulsion, fringale, toujours plus forte Comme une envie de bouffer tous ces porcs... Et je détruis tout ce qui est dur Et je souille tout ce qui est pur Peur sacrifiée dans la tourmente Pour éviter de tout tuer je chante... Et je dégueule à vos pieds toute ma violence...