Il dicte de l'ombre de ses doigts ouverts Au creux de vagues désordonnées Ses désirs immondes Qui transpercent les chairs De ces entrejambes désabusés Il a tant rêvé d'elles Cet être faible, anormal En proie à ses songes abjectes, il dicte de son ombre En proie à ses rêves de nuisettes, il force les barrages En proie à ses songes abjectes, il dictait dans l'ombre En proie à ses rêves de fillettes, il se raccroche aux voiles Faible, abjecte, sans cœur et sans fond Morte, imparfaite, souillée aux oubliettes