Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dérange Un signal d'alarme qui désarme et séduit même les anges Ils ont tous dans les yeux ce que tu ne vois pas Qui n'appartient qu'à eux, qui n'appartient qu'à moi (Tous) dans le cœur les bleus de la déprime Le noir du malheur qui invite au crime (Tous) dans les mains du sang, des images Pour offrir demain aux seins de passage (Tous) dans les poings de belles promesses Pour les putains qui les caressent Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dérange Un signal d'alarme qui désarme et séduit même les anges Tous dans leur vie, le miroir de la mienne Un royaume interdit ouvert à ceux qu'ils aiment Les seigneurs de la nuit (ayayaya... de la nuit) Ils ont tous dans leur verre de la bave et du poison De la haine et de la colère à perdre la raison (Tous) dans leurs mots une poésie secrète Un cri à fleur de peau vers l'amour qu'ils regrettent (Tous) sous leur cuir remplacent le revolver Par une photo souvenir d'un enfant ou d'une mère (Tous) une histoire cent fois racontée Contre un verre à boire pour oublier Qu'ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dérange Un signal d'alarme qui désarme et séduit même les anges Tous dans leur vie, le miroir de la mienne Un royaume interdit ouvert à ceux qu'ils aiment Les seigneurs de la nuit (ayayaya, ayayaya, de la nuit, de la nuit...) Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dérange Un signal d'alarme qui désarme et séduit même les anges Tous dans leur vie, le miroir de la mienne Un royaume interdit ouvert à ceux qu'ils aiment Les seigneurs Ils ont tous dans leurs larmes quelque chose qui dérange Un signal d'alarme qui désarme et séduit même les anges Tous dans leur vie, le miroir de la mienne Un royaume interdit ouvert à ceux qu'ils aiment Les seigneurs de la nuit De la nuit (ayayaya...) Les seigneurs de la nuit (ayayaya...) Les seigneurs de la nuit (ayayaya...) Les seigneurs de la nuit (ayayaya...) Les seigneurs de la nuit