T'avais le nom du printemps Florine Mon cœur est devenu ce champs dans la brume Plus je m'en vais loin et plus tu t'imprimes J'écris des lignes et je compte les lunes T'avais ce nom joli, un peu salé Mon cœur est comme un bouquet délaissé Squatter les trains, voir la vie défiler Je vais me soigner de toi vers l'été Je pars, je me perds loin de l'aube de tes bras C'est la fin de l'hiver mais rien ne fleurit près de moi Je m'ennuie, je m'ennuie de tout, de tout ce temps qui va Toute la nuit, toute la nuit me revient ce parfum de toi Croisé sur les places, les marchés Ton parfum se déplace, vient me hanter Le soleil brûle les pétales, les clochers Moi j'avance dans la foule, asséché Où est ce regard doux qui me comprend Un chemisier, un peu de bon temps La nuit je sors retrouver les grands vents Debout dans le mistral je t'attends Je pars, je me perds loin de l'aube de tes bras C'est la fin de l'hiver mais rien ne fleurit près de moi Je m'ennuie, je m'ennuie de tout, de tout ce temps qui va Toute la nuit, toute la nuit me revient ce parfum de toi Je pars, je me perds loin de l'aube de tes bras C'est la fin de l'hiver mais rien ne fleurit près de moi Je m'ennuie, je m'ennuie de tout, de tout ce temps qui va Toute la nuit, toute la nuit me revient ce parfum de toi J'ai pas le choix de fuir là Et maudire d'un soupir tes sourires béats J'ai pas le choix, faut que je vive moi Que je vive moi ♪ Que je vive moi ♪ Je pars, je me perds loin de l'aube de tes bras C'est la fin de l'hiver mais rien ne fleurit près de moi Je m'ennuie, je m'ennuie de tout, de tout ce temps qui va Toute la nuit, toute la nuit me revient ce parfum de toi Je pars, je me perds loin de l'aube de tes bras C'est la fin de l'hiver mais rien ne fleurit près de moi Je m'ennuie, je m'ennuie de tout, de tout ce temps qui va Toute la nuit, toute la nuit me revient ce parfum de toi J'ai pas le choix de fuir là J'ai pas le choix de fuir là