Il ne restait plus grand chose au fond de mes poches Alors que je me dirigeais vers la ville basse Afin d'atteindre la pizzeria vegetalienne De mon ami Gino Sur le chemin je croisait pas mal de spécimennes Tous m'alpagait pour de diverse raison Mais grâce à l'esprit du zigzag et a ma bonhomie naturelle Je pu continuer mon transport Jusqu'à ce qu'un punk plus récalcitrant que ses prédecesseurs me barre la route Le passage bloqué je levait les yeux Il avait une crête d'iroquois turquoise, j'examinais sa coifffure et m'apperçut que les pointes étaient dégradés tendant vers le jaune Il portait autour du cou des nunchakus phosphorescent Dont les manches contenait un liquide hétérogène Qui éclairait les tatouages de son torse figurant des écailles de dragon Il me fît clairement envisagé qu'il voulait mon argent Afin de lui faire comprendre que je n'en possédait pas plus que lui Je m'expochait Et prouvait l'intéréssé qu'à part un jeton obsolète pour une attraction de foire et ma compassion je n'avait rien a lui donner Il comprit J'était l'un des siens Il m'emboitait alors le pas Continuant la route avec moi Il possédait un scooter que nous chevauchâme, nous rapprochant vivement de la pizzeria de Gino Nous traversions la ville a bonne allure quand nous assistâme de loin à une bagarre molle Qui entremelait des être bien trop imbibé de cette substance que l'on dépose sous la langue