Monte la mer et on descend Il y a des rails sous l'océan Un labyrinthe, un tourbillon Et dans l'écume sont les visions Des anémones alentours Un prédateur de plexiglas Décrit des cercles blancs dans l'eau J'aspire les perles d'oxygène bleu Entremêlées dans tes cheveux Entre tes côte la moire des flots Adieu vide tellurique La mer avale mon coeur Les limbes aquatiques Effacent les plongeurs Les fantômes de baleine En haut du précipice Et puis notre lointaine idylle des abysses Ta bouche d'azure dilue les heures M'aspire dans les profondeurs Les grincements à chaque virage Et sur les sièges de velours Se cristallise notre amour Adieu vide tellurique La mer avale mon coeur Les limbes aquatiques Effacent les plongeurs Les fantômes de baleine En haut du précipice Et puis notre lointaine idylle des abysses